2--Les Fausses Croyances de Mirza Ghulam A. Qadiani
41. « Daiyan ila Allahi » et « Sirajum Munii. » Ces deux noms et ces deux titres
ont été donnés en particulier au Saint Prophète SAAW dans le Saint Qur’an et
de même ces deux titres m’ont été attribués au cours d’une inspiration. »
(Arba’een n°2 p 5, Roohani Khazain vol 17 p. 350).
42. « En cette place le mot « Soor » indique le Messie Promis. » (Chashama-e-
Maaarifat p 76, Roohani Khazian vol 23 p. 85).
43. « Je suis Krishna pour les Hindous. » (Conférence de Sialkot, p 33).
44. « Hay Krishan Ji Roodur Gopal » (AlBushra vol 1. p. 56).
45. “Il n’est pas digne de combattre le Brahmin Autar (càd Mirza Sahib). »
(AlBushra vol 2 p. 116).
46. Rois des Aryens » (AlBushra vol.1 p. 56).
47. « Amin ul Mulk Tai Singh Bahadur » (AlBushra vol 2 p. 118).
48. « Ma position se trouve sur ce minaret où toutes les apogées s’arrêtent. »
(Khutba-e-Ilhamiyah. p. 35).
49. « Plusieurs trônes sont descendus des Cieux mais le vôtre est venu du plus
haut point. » (Al Bushra vol 1 p. 56).
50. « Dieu m’a donné cette chose que personne d’autre n’a eu. » (Haqeeqat-ul-
Wahi p. 107, Roohani khazain vol 22 p. 110).
Chers lecteurs ! Dans ces étranges inspirations, les prétentions et les noms
sont attribués à Mirza Sahib. Nous sommes embarrassés de comprendre
comment à une seule personne ont-il été assigné autant des responsabilités ?
Y-a-t-il un Mirzai pouvant nous aider à comprendre les énigmes de son
Leader ? Mirza Sahib l’a répété plusieurs fois et les Mirzais continuent de jouer
la même musique que dans le Hadith deux appellations sont mentionnées pour
le Maseeh Nasiri et le Messiah Promis. Donc, Messiah et Nasiri ne conviennent
pas selon les deux descriptions. Mais, ils ne pensent jamais que les noms de
Muhammad, Ahmad Issa, Mussa, Ibrahim, Krishan, Brahmin Autaar, Jai
Singh Bahadur etc… ensemble pour Mirza Sahib ? ? ?
51. Mirza Sahib expliqua son inspiration :
« Yahmaduk Allah min Arshehee, YahmadukAllah wa Yamshee ilaik-Dieu vous
loue et vient vers vous. » (Anjam-e-Atham p. 55, Roohani Khazain vol 11 p 55).
Mirza Sahib n’avait pas mentionné si Dieu l’avait touché ou non !!!
52. Mirza Sahib affirma que Dieu s’était adressé à lui en ces mots :
« Antaa Ismee al’Aalaa-(O Mirza) vous êtes mon plus grand (nom) attribut. »
(AlBushra vol 2 p 116).
Oh ! Mes Krishan Qadian Ji ! Vous avez été aveuglés. Avant de publier cette
inspiration vous n’avez pas réfléchi un moment que les Chrétiens et les Aryens
Samaji diraient qu’avant la naissance de Mirza Sahib, les Musulmans ne
connaissaient pas le plus grand attribut (nom) d’Allah. Et que le Qur’an et les
Hadiths étaient dépourvus de la description de ce grand attribut. Cette
nouvelle et unique révélation de Mirza cherche à prouver que le grand attribut
(nom) de Dieu est GHULAM AHMAD !!!
53. Une autre inspiration de Mirza dit :
« Anta Madinatul ilm- Vous êtes la cité de la connaissance. » (AlBushra vol 2 p
61).
Notre Maître, le Saint Prophète Muhammad a dit : Ana Madinat-ul-Ilm wa Ali
Boaboha-Je suis la cité de la connaissance et Ali est la porte d’entrée. Mais ce
Krishan Qadiani dit qu’il est la cité de la connaissance ! O Mirzais ! Vraiment,
trouvez-vous que ce Hadith est authentique ou simplement l’inspiration de
votre Krishan l’est-elle vraiment?
54. Mirza Sahib déclara :
« Inni hami ur Rehman-Je suis la clôture de Dieu » (AlBushra vol 2 p 89).
Chers lecteurs, Mirza prétendit qu’il était la clôture de Dieu, à l’instar de celle
que les fermiers mettent autour de leurs champs dans le but de protéger la
terre. Il semble que l’INSPIRATEUR est aussi faible et poltron comme Mirza
Sahib. Cependant, notre Dieu Rahman et Rahim est Omnipotent.
55. Mirza Sahib avait eu encore cette inspiration
« Je viendrai subitement vers vous avec des possessions ; je commettrai des
fautes et ferai de bons actes. » (AlBushra vol 2 p 79).
O frères Ahmadis ! Le « Dieu » qui envoyait l’inspiration à votre Leader déclare
qu’il commettra des fautes. Allah le Tout Puissant, Wahid et Quddus commet-il
des fautes ?
Cette inspiration prouve que Mirza Sahib était piégé d’autant plus que toute sa
vie n’était faite que des erreurs. C’est ainsi qu’il s’était retrouvé piégé dans le
filet de « Ijtihaadi Ghalti », celui-là même qui lui envoyait les inspirations, le
même qui ne pouvait pas le mettre hors de cette confusion et d’oubli. C’est
pour cette raison qu’il avait gardé Mirza Sahib piégé dans cette affaire
embrouillée toute sa vie.
56. Une autre inspiration de Mirza :
« Je prie, je jeûne, je me réveille et je m’endors (AlBushra vol 2 p 79).
Le Qur’an-e-Kareem dit à propos d’Allah la Takhuzuhu Sinatun wa laa nawm-
Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. Mais le Dieu de Mirza affirme qu’il
veille et qu’il dort aussi. Aux Mirzais d’annoncer au monde s’ils considèrent ce
concept valide. Mes anciens amis ! Je ne vous demanderai pas de nous fournir
des explications, vous avez à nous dire plutôt ce qui est correct entre les deux.
Et c’est très simple !
57. Mirza Sahib avait écrit dans son valeureux livre, Haqeeqat-ul-Wahi.
« Une fois, J’ai allégoriquement vu Dieu pendant que j’écrivais plusieurs
prophéties de ma propre main. La signification était que de tels incidents se
produisaient régulièrement. Alors, j’ai présenté ce papier sans hésitation à Dieu
pour sa signature. Dieu l’avait signé avec une plume et lorsqu’Il signait, il
secouait la plume comme on le fait pour enlever l’encre excessive et il
continuait à signer. Je criais de joie et en pensant aux bénédictions et à la
bonté que Dieu allait me combler. Tout ce que je voulais, Dieu m’accordait
sans hésitation et je me suis réveillé à cet instant. En ce moment, Mian
Abdullah Sanwari tenait mes jambes dans la chambre de la mosquée lorsque
les gouttes d’encre tombèrent sur ma chemise et le tapis.
Chose étrange, le temps au cours duquel les gouttes tombaient sur ma chemise
et celui de secouer la plume était concomitant. Un illettré ne comprendrait pas
et douterait parce qu’il qualifierait l’événement d’un rêve. Mais, ceux qui
connaissent les questions spirituelles, ne douteraient pas. Parce que Dieu est
capable de ramener en vie un mort. En bref, j’ai relaté tout l’incident à Mian
Abdullah Sanwari, les larmes aux yeux. Il était témoin de ce rêve, et était
affecté profondément. Il avait gardé ma chemise comme une bénédiction pour
lui, jusqu’à ce jour. » (Haqeeqat-ul-Wahi p 255, Roohani Khazain vol. 22 p
.267).
O Mirza ! Le Qur’an-e-Majeed dit : « Laisaa ka Mislehee Shaiyun- Aucune chose
ne ressemble à Allah car Il est au-dessus de toute similitude. Mais, contre cette
injonction coranique, Mirza Sahib avait écrit qu’il avait vu allégoriquement
Dieu. Tout en gardant en esprit la crainte de l’Eternel, dites-nous comment
peut-il voir une ressemblance à Celui qui est au-dessus de toute similitude ?
L’infini peut-il être confiné dans le fini ? En répondant, évitez des explications
tronquées. Si vous pouvez citer les versets du Qur’an prouvant que la
similitude d’Allah est possible.
Une autre question surgit de ce Kashf de Mirza Sahib. Lorsqu’il présentait ses
papiers à Dieu pour signature et qu’Il les ait signés avec une plume, l’encre
était réelle et physique car elle avait laissé les traces sur la chemise et sur le
tapis. S’il en est ainsi ses papiers devraient aussi être physiquement réels.
Donc, les Mirzais devraient nous dire où sont ces papiers et dans quelle langue
Dieu les avait trouvés. En plus, nous avons le droit de savoir le contenu de ces
prophéties. Et après avoir été sanctionnées par Dieu, se sont-elles accomplies ?
Nous voudrions aussi savoir si l’encre excessive sur le bec de la plume est
arrivée avec l’intention de Dieu ou sans son intention.
58. Mirza Sahib poursuivit en disant :
« J’ai rêvé que j’étais devant la cour de Dieu en attendant que mon casier soit
présenté. J’ai alors entendu : « O Mirza ! Soit patient, vous serez bientôt libre.
Encore une fois, j’avais vu que j’allais devant la cour où Dieu était assis sur
une chaise comme un Juge. A ses côtés, était un commis qui lui présentait des
do*****ents. Le Juge avait pris un do*****ent en disant : « Mirza est-il présent ?
J’avais vu qu’à côté de lui, il y avait une chaise vacante sur laquelle Il m’avait
demandé de m’asseoir tout en tenant des do*****ents dans ses mains. Aussitôt,
je me réveillais. » (AlBadr vol 2 n°6 1903 ; Mukashifaat p 28-29).
De ce rêve, il se dégage :
Allah travaille dans la cour avec une table et une chaise.
Dieu a besoin d’un commis comme tout magistrat au monde.
Dieu est si occupé par la perplexité des casiers judiciaires qu’il n’a pas le temps
de parler.
Dans le Qur’an, Allah dit : « Sa nafrughu ayuhas Saqalaan : -Nous allons
bientôt entreprendre votre jugement, ô vous les deux charges (hommes et
djinns). » (Surah Rahman) Molvi Muhammad Ali Sahib de la Jamaat
Ahmadiyya Lahori écrivait dans le commentaire de ce verset dans Bayan-ul-
Qur’an :
« Ici le sens est de punir c’est-à-dire d’infliger une sévère punition car être libre
de quelque chose est souvent utilisé en cas de réprimande. »
Ainsi, pour Mirza être libre signifie que Dieu lui a fait une sévère réprimande. O
Mirza nous allons bientôt vous infliger une sévère punition. Ô Mirza Lahori !
Ditez-nous rapidement pour l’amour de Dieu, votre Krishan Ji Maharaj avait-il
subi une sévère punition de la part d’Allah en ce monde ou la recevrait-il au
Jour de Qiyamah ?
59. L’inspiration de Mirza Sahib nous informe :
« Anta minnee be manzila tawheedee wa tafreedee.” “Vous venez de moi comme
Mon Unicité et Ma personne.” (Haqeeqat-ul-Wahi p 86, Roohani khazain vol. 22
p .89).
O les amis ahmadis ! Comme Allah est Unique, Son Unicité et sa Personne
sont aussi unique, n’est-ce pas ? Après avoir accepté que votre leader soit
comme l’Unicité de Dieu et comme Sa Personne, voulez-vous dire qu’il partage
l’unicité avec Dieu ? Compreniez-vous le fait que Mirza Sahib soit comme
l’Unicité de Dieu et Sa Personne, rejetez-vous le Tawhiid ?
Mirza se décrit dans ses inspirations :
« Antaa minnee ba manzilat waladee- Vous venez de moi comme mon fils. »
(Haqeeqat-ul-Wahi p 86, Roohani Khazain vol. 22 p .89).
« Anta minee ba manzila awlaadee, vous venez de moi comme mes fils. »
(AlBushra vol 2 p 65).
« Maseeh et ce modeste (Mirza) occupent allégoriquement un même rang; nous
pouvons alors les appelés des frères. » (Tawdheeh-e-mariam p. 27 ; Roohani
Khazain vol. 3 p. 64).
O Mirza ! Votre Hazrat avait dit qu’il était comme le Qur’an et tout ce qui a été
révélé, passait par lui. Mais, manifestement dans ce contexte, il contredisait le
Qur’an dans ses nombreuses inspirations.
Le Qur’an nie catégoriquement qu’Allah s’est attribué un enfant comme il est
stipulé dans la Sourate Maryam :
(Qur’an 88-92)
« Et ils ont dit : « Le Tout Miséricordieux S’est attribué un enfant. »
Vous avancez certes là une abomination ! Peu s’en faut que les cieux ne
s’entrouvrent à ces mots, que la terre ne se fende et les montagnes ne
s’écroulent, du fait qu’ils ont attribué un enfant au Tout Miséricordieux, alors,
qu’il ne convient nullement au tout Miséricordieux d’avoir un enfant ! »
Voyez comment forcément et de manière terrifiante le Qur’an réfute Qu’Allah,
Rahman s’est attribué un fils, n’est-il pas indigne pour Allah d’en avoir ?
O les disciples de Mirza ! Répondez-moi, entre ces deux inspirations de votre
leader, laquelle considérez-vous être vraie? Si vous considérez l’inspiration
suivante (Je suis exactement comme le Qur’an et ne vient de moi que ce qui a
été révélé par le Qur’an) être vraie alors que diriez-vous de celle qui affirme que
Mirza est le fils de Dieu ? Le Qur’an réfute l’idée d’engendrer pour Allah et
l’inspiration fait de Mirza, fils de Dieu !!!
61. Allah informait Mirza Sahib :
« Sirroka Sirree-« votre secret est le mien » (AlBusra vol 2 p 129)
« Zahooroka zahooree-Votre venue est la mienne. » (AlBushra vol 2 p
126).
Il est clair qu’ à partir de ces deux citations, « Dieu » s’était adressé à Mirza. O
Mirza ! Moi et Vous, sont Un. Il n’y a donc pas de différence entre nous. Dans
le Christianisme le Père, le fils et le Saint Esprit font trois personnes en un
Seul Dieu. Mais Mirza ne laisse de place pour une troisième. Un Dieu est au
ciel et un autre sur terre en la personne de Mirza comme il est mentionné dans
son inspiration : « Dieu descendra à Qadian (AlBushra vol 1 p 56). Mais, il n’y a
pas deux dieux mais un Seul Dieu parce que la venue de Mirza est celle de
Dieu.»
62. La même doctrine de Mirza Sahib est bien expliquée dans ces lignes :
« J’ai rêvé que Je suis exactement Dieu et j’ y ai cru. Mon intention n’a pas
changé et sans aucun danger….dans cette capacité (lorsque j’étais Dieu).
J’avais dit : Nous voulons un nouveau système, de nouveaux cieux, une
nouvelle terre. J’ai alors créé le ciel et la terre sous forme condensée. Il n’y
avait pas de différenciation ni d’arrangement ; je les ai séparés et arrangés….et
à ce moment, j’ai trouvé que j’étais capable de le réaliser. C’est alors que j’ai
créé le premier ciel et en disant : « Inna Zaiyanna assamaa adduniya be
masaabeeha. » (Nous avons effectivement embelli le ciel le plus proche avec des
lampes (des étoiles) Qur’an 67 : 5)). Encore, j’avais dit : « Nous allons créer un
humain à partir de la terre. Ainsi, j’avais créé Adam dans la meilleure forme et
de cette manière, je devenais KHALIQ-Le Créateur. » (Aina-e-Kamalaat-e-Islam
p. 564-565 ; Roohani Khazain vol. 5 p. 564-565).
Les amis ahmadis ! Dites-moi et dites-le en toute sincérité : Mirza Sahib avait-il
omis quelque chose en vue de se faire passer pour Dieu ? Mirza Sahib disait :
Je crois que je suis exactement Dieu. C’est ce que Pharaon disait aussi : « Ana
Rabbukum al Ala. Où se situe la différence entre les deux déclarations ? Chers
lecteurs ! Mirza Sahib n’a pas seulement dit qu’il était Dieu mais qu’il avait
aussi créé les Cieux et la terre, il était allé plus loin en disant:
« Il m’avait été donné la qualité de faire mourir et de donner la vie. » Khutba-e-
Ilhamiyah p. 23 ; Roohani Khazain vol 16 p. 23).
En une autre place, Mirza Sahib parlait de son inspiration :
« (O Mirza !) En vérité ! C’est sous vos ordres. Lorsque vous désirez quelque
chose, dites, Soit et elle se produit. » (AlBushra vol. 2 p. 94).
Ceci prouve que Mirza Sahib avait le pouvoir de « Kun fa Yukuun ». La capacité
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